Y A-T-IL ENCORE DES PUBLICS VULNÉRABLES ? – 20e FORUM NATIONAL

VENDREDI 23 NOVEMBRE

Y-a-t-il encore des publics vulnérables ?

La France s’est donnée comme objectif, l’élimination de l’hépatite C sur son territoire d’ici 2025 !

L’objectif est ambitieux, surtout sans feuille de route, ni objectif intermédiaire.

L’ensemble des acteurs de santé a pris conscience de cet enjeu, et a pris ses responsabilités, en mettant en avant des projets ou des états des lieux.

C’est le sens du fameux livre blanc « sur l’accès aux soins des populations vulnérables pour l’hépatite C » auquel SOS hépatites a collaboré.

Mais aujourd’hui, après tous les efforts fournis, y a-t-il encore des publics vulnérables ? Migrants, malades psychiatriques, personnes précaires ou usagers de drogue, ces publics ont fait l’objet de programmes spécifiques, mais ont-ils été ou sont-ils efficaces ?

Quelle devrait être la place des associations de malades face aux publics vulnérables ?

Fin 2018, faut-il encore parler de publics vulnérables, en nommant des populations précises, au risque de les stigmatiser ? Ou doit-on considérer que toutes les personnes faisant partie des 100 000 malades qui ne sont pas dépistés ou pas traités, définissent à elles seules le public vulnérable ?

Quelles pourraient être les pistes pour aller vers les malades qui s’ignorent ? Le dépistage universel, peut-il être une réponse ?

C’est à toutes ces questions que se posent SOS hépatites, que le Dr Isabelle Rosa, hépatologue à Créteil et représentante de l’Association Nationale des Hépato-Gastroentérologues des Hôpitaux Généraux (ANGH) a accepté de venir répondre lors de notre 20e Forum à DIJON, les 22 et 23 novembre prochains.

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