NI MOUTONS, NI MALADES, MAIS TÉMOINS

ON N’EST NI DES MOUTONS, NI DES MALADES, MAIS DES TÉMOINS

Le 28 juillet est passé avec ses difficultés à « communiquer » sur les hépatites virales mais la communauté des malades et des associations de patients se sont mobilisées.

SOS Hépatites a participé avec ses moyens à :
un communiqué de presse,
une newsletter spécifique,
• et surtout notre campagne « Savoir C Guérir » menée en partenariat avec Culture Angels.

Vous pouvez retrouver les actions menées à l’international sur le site No-Hep, mais aussi, l’ensemble des actions que nous avons réalisé, actions SOS Hépatites en région.

Nous continuons de dire que les hépatites virales sont des bombes humaines et qui mieux que BERTIGNAC pour nous en parler. Personnellement concerné et guéri, il a accepté une vidéo témoignage disponible sur notre site.

En 2017, nous voulons savoir, connaître les virus, leurs effets, mais aussi idem sur les traitements et le fonctionnement du foie.

Quels sont les effets de la stéatose, de la cirrhose et même du cancer.

On ne répétera jamais assez le premier traitement, c’est l’information !

Nous ne sommes ni des malades, ni des moutons, mais des Témoins.

Face à une maladie chronique, on nous montre souvent des malades qui ont apprivoisé leur maladie.

Mais nous, malades de l’hépatite C et demain aussi malades de l’hépatite B, nous voulons être des Témoins. Témoins de la maladie, de notre guérison, de notre vécu, mais aussi de notre confrontation aux soins parfois violents, parfois emphatiques.

La guérison virologique peut nous faire perdre notre statut de malade ou du moins, nous le fait voir autrement.

Devenons des Témoins, éclairons la route.

Ne soyons pas des moutons, même si c’est le souhait de certains médecins.

Nous ne voulons pas de vétérinaires, mais des hépatologues.

SAVOIR, C’EST GUÉRIR
GUÉRIR, C’EST APPRENDRE
APPRENDRE, C’EST TRANSMETTRE

Pour nous, la transmission ne doit plus être associée aux virus, mais au partage du savoir.

Pascal Mélin

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Un commentaire sur “NI MOUTONS, NI MALADES, MAIS TÉMOINS

  1. Ca y est, on a le droit d’avoir une autre dénomination que le blessant et rabaissant surnom « malade » ?

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